Le blues hivernal ? Non merci ! Alors pour avoir le moral au beau fixe, on vous a concocté une playlist bourrée de good vibes : en avant la musique !

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Lili Poe feat Disiz la Peste : Sombre

Elle oscille entre la pop et les musiques urbaines. Une chose est sûre : avec sa voix au grain velouté, faussement girl next door, Lili Poe donne immédiatement envie de la suivre. Et quand elle évoque son amoureux – « dans tes bras je sombre / mon sombre héros » – on a juste envie de se mettre un trait de khôl sur les yeux et de retrouver fissa le nôtre pour arpenter, épaule contre épaule, les rues de la ville.

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Anne Sila : Let it Go (Jazz Loves Disney)

Quoi ? Encore « Libérée, délivrée », le tube de la Reine des Neiges dont votre dernière vous rebat les oreilles du matin au soir ? Oui mais... Anne Sila le reprend façon jazz et ça change tout. Moins de guimauve, plus de cuivres, une émotion plus diffuse : on dit banco. Et on n’a aucun doute : Anna et Elsa valideraient elles aussi cette relecture de leur tube planétaire ! Alors... « Let it go » ?

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Ed Sheeran : Castle On The Hill

Des guitares lâchées en mode chevaux sauvages. Des paroles qui célèbrent les amitiés au long cours, les premières amours, le temps qui passe mais n'altère pas les sentiments, l'importance des racines... Bref, l'essentiel. Alors, comme Ed Sheeran, on envoie valser les petites contrariétés du quotidien pour se concentrer sur ce qui fait le sel même de la vie. Et tout de suite, on se sent plus légère...

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Jain : Makeba

« Ou-oué ! »… Dès les premières notes, on reconnaît « Makeba », le tube de la jeune Jain. Et nous voilà, battant la mesure malgré nous et ondulant du bassin comme une championne de hula-hoop. Vos épaules se mettent à bouger en rythme ? Ça y est, vous aussi, vous êtes définitivement envoûtée par cette magicienne du son...

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B.O. Du film La La Land : Another Day of Sun

Il a tout raflé aux Golden Globes et risque de faire une razzia aux Oscars. La La land est « le » film de ce début d'année. Sa B.O. n'y est sans doute pas pour rien. « Another Day of Sun » donne envie de tenter un entrechat sur le trottoir, de réaliser une pirouette au-dessus d'une bouche d'aération, de tournoyer autour d'un réverbère. Bref, de faire du quotidien un monde enchanté. Alors, dansez maintenant !

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Sting : I Can't Stop Thinking About You

Extrait du dernier album de Sting, « I Can't Stop Thinking About You » renoue avec les riches heures du groupe Police dont il était le leader. Des guitares efficaces, une batterie survitaminée, la voix délicieusement rugueuse du chanteur. Et surtout un refrain chargé en énergie qu'on a envie de se repasser en boucle. Rien de tel pour affronter la foule des transports en commun ou les interminables embouteillages.

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Robbie Williams : Party Like a Russian

Son poster a habillé nos chambres d'adolescentes (si, si, ne niez pas...). Et comme nous, il a négocié admirablement le passage à l'âge adulte. Robbie Williams est inoxydable en termes d'efficacité musicale et son dernier single, « Party Like a Russian » le prouve à nouveau. On craque pour les Choeurs de l'Armée Rouge appelés en renfort et, surtout, le sample de « Roméo et Juliette » de Prokofiev.

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Calypso Valois : Le Jour

Fille d'Elli Medeiros et de Jacno – couple-phare de la pop française des années 80 – Calypso Valois a d’ailleurs un peu hérité du son et de l'insolence de l’époque. « Le Jour » impose son tempo entraînant et son rythme vivifiant, contrebalancé par la voix cristalline de cette « fille de » qui n’a rien à envier à ses parents. Idéal pour s'extraire de son lit sans brusquerie.

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The Pirouettes : L'Escalier

C'est « le » nouveau phénomène léger, frais et sautillant de la pop française dont on n'a pas fini d'entendre parler.  La voix fraîche de Vickie s'entremêle délicieusement à celle, faussement candide de Léo. À écouter quand l'ascenseur du bureau est (encore) en panne et qu'une montée de six étages nous attend. Le pied !

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Cali : I Want You

Cali revient avec une sorte d'hommage au « I Want You » de Bob Dylan. Et ça marche. D'autant qu'il célèbre une femme libre, épanouie, dont la petite robe d'été suffit à tournebouler le chanteur. Et si cette fille dont il parle, c'était nous ? Puisque Cali utilise le « tu », on peut tout à fait s’autoriser à le croire. Et bam ! D'un coup, notre confiance en soi monte en flèche.

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